« Je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai à contre c½ur, à regrets ! »
Ce qui me ronge ? C'est cette douleur qui tète baissé, dans mon c½ur plonge, elle a atterrit c'est posé, puis se glisse dans mes songes défendus, ton nom que je ne prononce plus il brule ma langue, ce mot sonne cru ! Cru comme cruel, le soir ou dans cette ruelle, tu m'as dis a bientôt au lieu d'adieu, c'était un seul mot et non deux.
Quand la tristesse m'envahit, je ne suis plus d'ici, mon corps par vers une autre planète, celle d'un profond mal être, ou qu'importe, rien ne fait que je n'en sorte, de ce monde, cette univers qui m'éloigne de notre hier ! La pluie ne me mouille pas, les rayons du soleil n'évitent que moi, je pleure mais sa ne se voit pas, comme la croix immense ou ai accroché mon c½ur en pénitence...
Le ciel me punit, car il ma dit éloigne toi, aujourd'hui j'ai mal je prie, mes prières partent en confettis, les anges me regardent encore de leur regarde étrange, j'entends juste ces murmures dit en chansons à demi mesure : « il te Reni ! Il t'a prévenu, tu as souris ! » Aujourd'hui tu es bannis ton c½ur et toi sont damnés...oui je suis condamnée !
Pourtant Tu avais bien l'air d'un ange, quand tes mains posés sur mes hanches, tu promettais à la lune de me mentir, alors avec un large sourire, j'avalais tes je t'aime, et autre mot qui n'en on jamais valut la peine, pas même une seconde tu n'as réalisé que je faisais de toi mon MONDE.
Perlèrent alors de plus en plus souvent, ces drôles de gouttes salé, car en te pensant, je revoyais cet escalier ! Aujourd'hui Plus atterré que blessé, tu veux faire croire, que « parfois » tu regrettes notre histoire. Foutese ! On dit que ce qui revient vers toi t'appartient, sinon ça na jamais été a toi. Mais n'as-tu jamais été mien ?
Aujourd'hui, il n'y a Rien de trop beau pour ta bien aimée, tu serais prêt à lui tracer un collier de baisé sur son cou tandis que pour t'oublier moi je réinventerai tout, je donnerai tout ! Ma souffrance éclabousse la terre entière, chacun c'est que sans toi je pleure des rivières. Sauf toi, tu fais mine ne de pas savoir, tu ferme les yeux pour ne pas me lire, me VOIR.
Je prie encore pour que de la le destin me sorte ou que le diable ne m'emporte. De mes lèvres ensanglantées je le prononce à peine, mais déjà sans toi je saigne, alors à en perdre haleine, au clair de la lune, mon sang pour plume, comme une idiote je me prosterne, je te l'écris quoi qu'il advienne : Crève ! Je t'aime.
Ce qui me ronge ? C'est cette douleur qui tète baissé, dans mon c½ur plonge, elle a atterrit c'est posé, puis se glisse dans mes songes défendus, ton nom que je ne prononce plus il brule ma langue, ce mot sonne cru ! Cru comme cruel, le soir ou dans cette ruelle, tu m'as dis a bientôt au lieu d'adieu, c'était un seul mot et non deux.
Quand la tristesse m'envahit, je ne suis plus d'ici, mon corps par vers une autre planète, celle d'un profond mal être, ou qu'importe, rien ne fait que je n'en sorte, de ce monde, cette univers qui m'éloigne de notre hier ! La pluie ne me mouille pas, les rayons du soleil n'évitent que moi, je pleure mais sa ne se voit pas, comme la croix immense ou ai accroché mon c½ur en pénitence...
Le ciel me punit, car il ma dit éloigne toi, aujourd'hui j'ai mal je prie, mes prières partent en confettis, les anges me regardent encore de leur regarde étrange, j'entends juste ces murmures dit en chansons à demi mesure : « il te Reni ! Il t'a prévenu, tu as souris ! » Aujourd'hui tu es bannis ton c½ur et toi sont damnés...oui je suis condamnée !
Pourtant Tu avais bien l'air d'un ange, quand tes mains posés sur mes hanches, tu promettais à la lune de me mentir, alors avec un large sourire, j'avalais tes je t'aime, et autre mot qui n'en on jamais valut la peine, pas même une seconde tu n'as réalisé que je faisais de toi mon MONDE.
Perlèrent alors de plus en plus souvent, ces drôles de gouttes salé, car en te pensant, je revoyais cet escalier ! Aujourd'hui Plus atterré que blessé, tu veux faire croire, que « parfois » tu regrettes notre histoire. Foutese ! On dit que ce qui revient vers toi t'appartient, sinon ça na jamais été a toi. Mais n'as-tu jamais été mien ?
Aujourd'hui, il n'y a Rien de trop beau pour ta bien aimée, tu serais prêt à lui tracer un collier de baisé sur son cou tandis que pour t'oublier moi je réinventerai tout, je donnerai tout ! Ma souffrance éclabousse la terre entière, chacun c'est que sans toi je pleure des rivières. Sauf toi, tu fais mine ne de pas savoir, tu ferme les yeux pour ne pas me lire, me VOIR.
Je prie encore pour que de la le destin me sorte ou que le diable ne m'emporte. De mes lèvres ensanglantées je le prononce à peine, mais déjà sans toi je saigne, alors à en perdre haleine, au clair de la lune, mon sang pour plume, comme une idiote je me prosterne, je te l'écris quoi qu'il advienne : Crève ! Je t'aime.
♪ ♬ ♩ ♭ ♪♪ ♬ ♩ ♭ ♪
Chanson qui m'a inspirée :
Pardonne-moi,le mal que j'ai pas fait,je voulais pas,
que l'on s'aime à peu prés,je voulais juste me connaître mieux,
m'épanouir à tes côtés,on ne donne rien quand on donne peu,
je voulais tout donner...
Mais ont s'est simplement MAL aimé...
♪ ♬ ♩ ♭ ♪♪ ♬ ♩ ♭ ♪
08/12/09 à 02h00
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